7 de febrero de 2006

Le premier voyage dans le temps d'un soûlard

     Le soleil me réveille par une lumière éblouissante qui détache ma rétine, tandis que je décide d'y entrer, silencieusement, pour ne pas réveiller les grillons, leur faire peur.
     Là-dedans, mes doigts appuient sur les boutons qui doivent être touchés des doigts de quelqu'un, comme moi, qui appuie dessus.
     L'espace se contracte et s'étend, se contracte et s'étend, comme moi, qui me gonfle et me dégonfle, comme un ballon de blague de clown de foire.
     Merveilleux, j'y suis, ou j'y arrive: le lieu de nombre de lieues carrées me rappelle chez moi, dont je rêve et songe depuis très longtemps depuis.

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